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Bracelets Bootleggers Wild Turquoise

Dingue des États-unis, Franck Merle a lancé sa marque de bijoux inspirée du travail des Indiens Navajos.


Quand on a travaillé pendant plus de 10 ans pour une marque de vêtements qui s’appelle Vilebrequin, il est normal que l’on s’intéresse à la mécanique !

Et comme dès son plus jeune âge, Franck Merle, 45 ans, a été attiré par les États-unis et par les autos et motos fabriquées dans ce grand pays, c’est actuellement sur une Harley-davidson Panhead de 1950 que travaille notre homme.

Attention, pas de méprise pour gagner sa vie, Franck fabrique des bijoux. Vous avez un peu de mal à suivre ? OK, on reprend depuis le début.

Ce beau Merle est né au début de la décennie 70 à Lyon. Dans les années 90, n’y tenant plus, il part pour une traversée des USA, sans trop d’argent et sans parler un mot d’anglais. Du coup, il a appris sur le tas. Lors de son retour en France, il s’installe à Saint-tropez et devient animateur réseau de cette fameuse marque de prêt-à-porter.

Et puis, un jour, il décide de changer d’air, ou plutôt de retourner dans son pays d’adoption. Cette fois-ci, il va passer quatre ans sur les terres de l’oncle Sam. Pour vivre, il achète et revend des voitures anciennes. Parallèlement, il commence à s’intéresser à l’art indien, en particulier à travers le travail de la tribu Navajo.

J’AI D’ABORD LANCÉ UNE LIGNE FEMME MAIS C’EST LA LIGNE HOMME QUI A LE PLUS DE SUCCÈS BOOTLEGGERS.

« Ça m’a permis de voyager à travers des États peu connus, comme le Wyoming, le Dakota ou le Montana. » Car, comme pour ses motos, le garçon est en quête d’authentique. Lui qui a toujours porté des bijoux, il réalise quelques pièces à titre personnel. Seulement voilà, un jour, il a bien fallu rentrer en France…

Il atterrit à Valence, à 100 kilomètres au sud de Lyon, et prend un nouveau virage professionnel puisqu’il devient assistant des artistes sur la tournée Âge tendre et tête de bois. « Ça se passait très bien, j’avais du temps pour moi et puis un matin, j’ai ressorti les bijoux que j’avais créés aux USA et je les ai laissés dans la boutique de prêt-à-porter de ma femme… » Le soir, les quatre bracelets étaient vendus. « J’en ai refait une dizaine et ils ont rencontré le même succès. »

Au début, Franck ne voulait pas en faire un « business » à plein-temps mais devant l’engouement, il a créé sa marque, Bootleggers, et alimenté une dizaine de points de vente, dont The Royal Racer. « C’était il y a deux ans et aujourd’hui, je suis distribué dans une soixantaine de points de vente. » Franck travaille des pierres semi-précieuses (onyx, turquoise…) qu’il marie avec des motifs façonnés selon ses idées. « J’ai d’abord lancé une ligne femme mais aujourd’hui, c’est la ligne homme qui a le plus de succès. »

Très occupé, il se garde quand même un peu de temps pour se rendre dans l’atelier Mecatech Kustom à Savasse, à côté de Montélimar, où il a laissé sa Harley. « Je la refais dans le style japonais, très dépouillé, uniquement avec des pièces d’origine et d’époque. » S’il fait beaucoup de choses lui-même, il avoue que la mécanique pure est laissée aux bons soins de Geoffrey, le patron de l’atelier. « Elle sera prête au printemps, et elle me servira tous les jours puisque je n’ai pas d’autres véhicules. »

Moto Revue Classic 2016 Texte : CG  / Photos Bootleggers

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